Y aurait-il de l'eau dans le gaz entre le président syrien et son armée et commencerait-on a assister à un scénario tunisien ou égyptien en Syrie.Un seul témoignage ne fait, bien sûr, pas l'information. Mais on nous a déjà parlé d'un nombre important de morts dans la police et quelques déserteurs de l'armée syrienne ont été montrés dans les petites lucarnes.
Certains prédisent la chute du régime sous 12 mois!
Résumons nous :
- la Tunisie poursuit son chemin vers l'élection d'une assemblée constituante,
- l’Égypte hésite entre le désordre et une situation intérimaire plus longue,
- le Yémen n'a plus de dictateur "valide" en poste sur son territoire ; blessé ou non, il a déserté en Arabie Saoudite (tiens il va surement rencontrer son copain tunisien),
- la Cote d'Ivoire a régularisé sa situation avec un président élu (dont les troupe vont partager la responsabilité de carnages avec celles de son ancien adversaire).
Reste sur le feu, la Libye. Le guide est toujours en place et peut même transmettre des ordres aux quelques mercenaires à son service, ordres qui le conduisent un peu plus vers le TPI. Celui là, je crains qu'il ne se rende pas, même sous l'amicale pression de la Turquie et/ou de quelques vieux copains de l'Afrique noire. Le suicide ne permettant pas de gagner le paradis musulman, il ne lui reste qu'à mourir sous le feu de l'OTAN
(photo Liberation.fr)
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