La dernière trouvaille des médias pour effrayer le petit peuple est de nous alerter sur les dangers des nano-particules, hier portées aux nues par les mêmes médias.
Ayez la curiosité de prendre le temps de lire, sur la majorité des produits commercialisés , la liste des composants des dits produits : c'est incompréhensible pour la majorité des consommateurs (en dessous de BAC + 10). On s'étonne que les gens soient de plus en plus déboussolés devant cette avalanche de recommandations totalement inutiles car non lues ou non comprises.
Avant hier, il valait mieux prendre une douche qu'un bain pour économiser l'eau qui devient rare ; aujourd'hui on nous explique que le bain est plus économique que la douche où, bande de pignoufs, vous rester trop longtemps!
Hier, dans l'excellente émission "C dans l'air", M. Cabrol nous expliquait que le réchauffement climatique était de la foutaise... En fait, il n'en sait rien...mais les autres, ceux qui y croient à ce réchauffement, ne peuvent pas affirmer qu'il aura bien lieu.
Arrêtons de se faire peur sans arrêt! En 1968 le slogan était : "il est interdit d'interdire". On ferait bien aujourd'hui de limiter l'emploi de cette horrible expression : "Principe de précaution" qui veut dire, en fait, "comme nous ne savons pas, ne prenons pas le risque". Il est du domaine de l'Etat de trier dans les affirmations des scientifiques, celles qui relèvent de l'urgence.
Avant hier, il valait mieux prendre une douche qu'un bain pour économiser l'eau qui devient rare ; aujourd'hui on nous explique que le bain est plus économique que la douche où, bande de pignoufs, vous rester trop longtemps!
Hier, dans l'excellente émission "C dans l'air", M. Cabrol nous expliquait que le réchauffement climatique était de la foutaise... En fait, il n'en sait rien...mais les autres, ceux qui y croient à ce réchauffement, ne peuvent pas affirmer qu'il aura bien lieu.
Arrêtons de se faire peur sans arrêt! En 1968 le slogan était : "il est interdit d'interdire". On ferait bien aujourd'hui de limiter l'emploi de cette horrible expression : "Principe de précaution" qui veut dire, en fait, "comme nous ne savons pas, ne prenons pas le risque". Il est du domaine de l'Etat de trier dans les affirmations des scientifiques, celles qui relèvent de l'urgence.
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