Je ne suis pas un dangereux terroriste et je n'ai l'intention d'attenter à la vie de personne, mais je dois dire que le lancer de chaussures sur G. W. Bush me réjouit au plus haut point.
J'avais bêtement parié, avant que G.W.B. ne lâche ses chiens sur l'Irak, que les Américains seraient assez intelligents pour ne pas lancer les hostilités avec le résultat que l'on connaît aujourd'hui. C'était sans compter sur les puissants lobbies des armes et du pétrole et ceux non moins puissants qui ne veulent pas de la paix au Proche Orient. Je me suis trompé et je n'aime pas me tromper
En fait, j'avais raison "until now" sur les conséquences. Bien sûr, un dictateur (et sa cour servile) a disparu de la planète ; mais, dites-moi, il en reste combien de dictateurs, dûment représentés dans les instances internationales et reçus comme des Princes par nos hypocrites Chefs d'Etat sous le douteux prétexte de faire tourner la machine économique.
Et le peuple irakien dans tout cela, il est devenu quoi? Soit un zélé collaborateur, soit un résistant "clanique" avec une pauvreté qui s'est aggravée.
Je ne sais pas comment Barak Obama compte se sortir de ce guêpier. Je lui recommande, cependant, de ne tenir ses prochaines conférences de presse en Irak que dans les mosquées (les chaussures au vestiaire)
(photo 20 Minutes)
J'avais bêtement parié, avant que G.W.B. ne lâche ses chiens sur l'Irak, que les Américains seraient assez intelligents pour ne pas lancer les hostilités avec le résultat que l'on connaît aujourd'hui. C'était sans compter sur les puissants lobbies des armes et du pétrole et ceux non moins puissants qui ne veulent pas de la paix au Proche Orient. Je me suis trompé et je n'aime pas me tromper
En fait, j'avais raison "until now" sur les conséquences. Bien sûr, un dictateur (et sa cour servile) a disparu de la planète ; mais, dites-moi, il en reste combien de dictateurs, dûment représentés dans les instances internationales et reçus comme des Princes par nos hypocrites Chefs d'Etat sous le douteux prétexte de faire tourner la machine économique.
Et le peuple irakien dans tout cela, il est devenu quoi? Soit un zélé collaborateur, soit un résistant "clanique" avec une pauvreté qui s'est aggravée.
Je ne sais pas comment Barak Obama compte se sortir de ce guêpier. Je lui recommande, cependant, de ne tenir ses prochaines conférences de presse en Irak que dans les mosquées (les chaussures au vestiaire)
(photo 20 Minutes)
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