Aller à l'école, même sous la contrainte (risque de perte les allocations familiales), c'est bien. Mieux serait de participer aux activités proposées.
Y aller pour dormir au fond de la classe ne résout en rien l'inculture constatée de certains de nos écoliers -Dieu merci pas tous -. La menace, en fait, est envoyée aux parents qui ne savent ou ne veulent pas comprendre que l'école pour tous gratuite (ou presque) est également un devoir et que le pays ne peut que se réjouir d'une certaine volonté d'apprendre.
Les enfants ou les adolescent(e)s qui considèrent l'école comme une corvée et qui, à 16 ans, pensent qu'ils en auront fini avec les corvées se trompent de monde. Il seront rapidement marginalisé(e)s -je veux dire en marge de l'évolution de la société qui saura les remplacer, quitte à ouvrir la porte à l'immigration, pour faire tourner les usines, construire les ponts, trier les ordures. Comme disait John Kennedy "chacun a un talent", il ne faut pas le laisser en friche faute de volonté et de motivation.
C'est aux parents qu'il revient la responsabilité de créer chez leurs enfants cette volonté et cette motivation, l'école et la caisse d'allocations familiales n'y pourront rien.
(photo 20minutes)
Y aller pour dormir au fond de la classe ne résout en rien l'inculture constatée de certains de nos écoliers -Dieu merci pas tous -. La menace, en fait, est envoyée aux parents qui ne savent ou ne veulent pas comprendre que l'école pour tous gratuite (ou presque) est également un devoir et que le pays ne peut que se réjouir d'une certaine volonté d'apprendre.
Les enfants ou les adolescent(e)s qui considèrent l'école comme une corvée et qui, à 16 ans, pensent qu'ils en auront fini avec les corvées se trompent de monde. Il seront rapidement marginalisé(e)s -je veux dire en marge de l'évolution de la société qui saura les remplacer, quitte à ouvrir la porte à l'immigration, pour faire tourner les usines, construire les ponts, trier les ordures. Comme disait John Kennedy "chacun a un talent", il ne faut pas le laisser en friche faute de volonté et de motivation.
C'est aux parents qu'il revient la responsabilité de créer chez leurs enfants cette volonté et cette motivation, l'école et la caisse d'allocations familiales n'y pourront rien.
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