En voilà une solution qu'elle est bonne!
Les jeunes, toujours plein d'idées, nous proposent une formule magique pour résoudre le problème de financement des retraites par répartition : ajouter des années validées sans cotisation et maintenir l'âge de départ, à taux plein à 60 ans.
La mathématique, ou son enseignement, a du largement être modifiée depuis l'époque ou j'usais mes fonds de culotte sur les bancs du primaire : le problème posé est de trouver de l'argent pour financer les retraites de demain et ces "jeunes" imaginatifs" proposent de puiser un peu plus dans les caisses sans se poser la question de l'origine de l'argent et , bien sûr, sans rien toucher aux acquis sociaux.
Les caisses de la CNAV sont, aujourd'hui, en déficit, il est donc bien normal de les ponctionner un peu plus pour être sûr de leur faillite dans une dizaine d'années.
Non ce ne sont pas des grecs qui ont signé cette pétition, ce sont des français irresponsables.
(image le Nouvel Obs)
Les jeunes, toujours plein d'idées, nous proposent une formule magique pour résoudre le problème de financement des retraites par répartition : ajouter des années validées sans cotisation et maintenir l'âge de départ, à taux plein à 60 ans.
La mathématique, ou son enseignement, a du largement être modifiée depuis l'époque ou j'usais mes fonds de culotte sur les bancs du primaire : le problème posé est de trouver de l'argent pour financer les retraites de demain et ces "jeunes" imaginatifs" proposent de puiser un peu plus dans les caisses sans se poser la question de l'origine de l'argent et , bien sûr, sans rien toucher aux acquis sociaux.
Les caisses de la CNAV sont, aujourd'hui, en déficit, il est donc bien normal de les ponctionner un peu plus pour être sûr de leur faillite dans une dizaine d'années.
Non ce ne sont pas des grecs qui ont signé cette pétition, ce sont des français irresponsables.
(image le Nouvel Obs)
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