C'est la fin de Gbagbo, probablement, mais est-ce réellement le début de quelque chose de réellement différent en Côte d'Ivoire. J'ai des doutes?La force a rejoint, semble-t-il, la "légalité" (celle reconnue par la communauté internationale). Pourvu que la force ne prévale pas rapidement pour (ne pas) résoudre les problèmes locaux.
Passer à la démocratie, éradiquer la corruption, etc. peuvent se révéler des exercices extrêmement difficiles. A preuve le scandale européen où quelques députés monnayaient leurs choix politiques!
La corruption, l'appât du gain, les déviations par rapport à la règle existeront toujours dans tous les pays, le seul problème est de fixer une limite à ne pas dépasser
Gbagbo 3ème à la course des destitutions après Ben Ali et Moubarrack.... Pour Khadafi cela me parait aujourd'hui pas gagné d'avance et encore moins pour la Syrie
(photo Le Figaro)
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