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Parler de socialisme n'est pas un gros mot. Vouloir qu'un minimum des frais de santé soit couverts par les nantis au profit des plus pauvres. Prôner un peu d'égalité devant les soins médicaux. Tout cela ne mérite pas la hargne affichée par des doctrinaires d'un libéralisme à tout crin.
Les extrémismes ne sont pas toujours religieux. Le libéralisme forcené a donné, il y a un an, la crise financière dont nous ne sommes pas encore sortis.
Je souhaite à ceux qui agitent l'opinion US et insultent leur Président de subir, demain, après demain ou un jour, des revers de fortune qui les laisseront nus sur le bord de la route. Les fonds de pension souscrits dans des établissements bancaires ont reçu des aides financières bien plus inadmissibles que cette tentative de solidarité proposée par Obama.
(photo Liberation)
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